mardi, janvier 31, 2006

Brèves

Joseph Deiss, une autre boîte à meuh, reste accroché à son principe de l'Etat qui n'intervient pas dans l'économie. Sauf quand c'est Swissair. Joseph Deiss a pour principe la non-ingérence dans la direction des entreprises. Même quand les directeurs foncent droit dans le mur. Joseph Deiss aime les gens qui foncent, c'est un principe. Il ne veut pas savoir où.

La direction de Swissmetal veut une table ronde, entre elle, SWISSMEM, et les grévistes. Par contre elle ne veut pas négocier avant la reprise du travail, mais dit vouloir comprendre les positions et les perspectives de chacun. Tout un programme. Ils pourraient simplement dire qu'ils cherchent le point faible parce qu'ils sont coincés.

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